Team Trade est un groupe de conseil et de service à destination des marchés financiers implanté à en Europe, à New-York et Sydney. Leur équipe vous présente leurs opportunités de carrière et d'accompagnement personnalisé (formation, suivi, mobilité internationale...) qu'ils proposent à leurs consultants.
Moovijob : Bonjour Laure, pourriez-vous vous présenter ?
Laure Sturbois : Je suis HR Manager pour Team Trade Luxembourg et Suisse, depuis 4 ans. Le spectre de notre équipe est très large et inclut le recrutement, l’intégration des collaborateurs, l’accompagnement de leur carrière chez Team Trade et aussi la gestion de la mobilité internationale, puisque nous sommes présents sur toutes les grandes places financières. En référence à notre secteur, je dirais que nous sommes non seulement un département RH mais aussi un « family office » pour nos collaborateurs.
Moovijob : Sur quels types de postes recruterez-vous ?
L. S. : Nous recherchons continuellement des Business Analyst, des Chef de Projet et des développeurs Java, qui sont les professions les plus représentées dans nos équipes. Nous avons de nombreux besoins à pourvoir et à présenter aux visiteurs, mais ce que j’attends surtout du Moovijob, ce sont les rencontres avec les candidats. Beaucoup de belles histoires ont commencé avec des candidatures spontanées ou des rencontres hors de nos activités de recrutement.
Moovijob : A quels enjeux RH êtes-vous confronté au sein de votre activité au Luxembourg ?
L. S. : Aujourd’hui la Suisse attire de nombreux candidats du secteur financier, ceux-là mêmes qui recherchaient la qualité de vie et les opportunités de carrière offertes par le Luxembourg il y a quelques années. Nous sommes donc en compétition pour attirer les meilleurs talents. Mais il n’est pas dit que Luxembourg perde la bataille, car le Grand Duché présente de nombreux atouts, notamment la simplicité d’installation pour les étrangers.
Pour notre part, nous avons la chance d’être présents dans ces deux pays.
Moovijob : Vos collègues sont partis en pause et vous laissent avec une file de 20 personnes, que faites-vous ?
L. S. : Ce serait une excellente opportunité pour organiser un échange libre entre candidats. Et il est très probable que je recruterai celui ou celle qui saura initier, alimenter ou relancer la conversation. Cela n’exclut pas les timides, car on peut être à la fois réservé et à l’écoute des autres. Nous le voyons tous les jours, les qualités de communication font sensiblement la différence dans le parcours des consultants que nous rencontrons.
Moovijob : Un candidat pleure de désespoir sur votre stand, que faites-vous ?
L. S. : C’est une situation qui arrive plus fréquemment qu’on ne le croit. Je pense qu’un salon est aussi une bonne occasion pour parler de ses doutes, demander des conseils et des avis sur son CV, son parcours. Nous n’aurons peut-être pas le temps de répondre à toutes ces demandes, mais je crois que cela fait partie de notre responsabilité de professionnels du recrutement, dans un marché du travail difficile d’accès pour beaucoup.
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